Cécile et Simonne

Simonne est la grande tante de Cécile,
Simonne a vécu dans une maison appelée "le pavillon", près de Confolens,
Cette maison, où elle n'habite plus aujourd'hui, est remplie de souvenirs et objets ayant appartenu à plusieurs générations.
Je ne connais pas Simonne, ni même le lieu où elle a vécu.
Pourtant Cécile m'a conviée à un "cérémonial" : découvrir dans des cartons de nombreux objets... venant du "pavillon".
Que faire de ces merveilles ? Les garder pour les transmettre à son tour ?
Dans l'immédiat, Cécile m'a confié la tâche de les "mettre en scène" pour les immortaliser.

Je me prête à cet exercice avec beaucoup de plaisir... et remonte le temps !

Dînette

Sur un air de romance

 11 avril 1923, le baptême de Simonne

Bijoutiers et Orfèvres de Charente

La parure

"Les chansons des petits bretons" par Théodore Botrel

Des ritournelles pour les amoureux - extraits

Couleurs et soleil

Pour les vacances, nous avons préféré descendre vers le Sud.
Au début le programme, c'était çà :

Inaugurer un premier périple dans notre véhicule VW (le nôtre n'est pas aussi "vintage", mais l'esprit "maisonnette sur le dos" demeure !)

Rejoindre le Portugal pour découvrir Porto

Finalement, nous sommes tombés sous le charme de l'Espagne (Côte Nord-Ouest : Cantabrie - Asturies et Galice).

Entendre à nouveau "chanter" la langue espagnole (elles sont loin les années lycée - tu te souviens Anne ?, Eric ?..)

Découvrir un peuple fier et joyeux malgré une "crise"plus sévère encore que la nôtre,

Se laisser surprendre par des paysages inattendus (la Galice = Bretagne de l'Espagne).

Voici quelques clichés "souvenirs" :

Randonnée dans les "Picos de Europa"

Façade d'une maison sublime à sauver de l'abandon - Por favor !!!!

Arpenter les rues d'Oviedo

Prendre le soleil, humer l'air du large le long de la Mer Cantabrique, puis de l'Océan atlantique

Admirer les couleurs, la fantastique lumière de O Porto do barqueiro

Terminer le périple par Saint Jacques de Compostelle (que je rêvais de découvrir après avoir emprunté un célèbre chemin !)

Ne pas se prendre pour un pélerin ! mais admirer à Cap Finisterre, le bleu infini d'un océan ouvert vers l'autre continent.

ENFIN, rendre hommage aux petites filles espagnoles féminines et enfantines à souhait avec leur ruban coloré dans les cheveux et leur robe simple et ravissante - La mondialisation n'a pas encore ici fait tous ses ravages - Le temps est suspendu et l'enfance préservée...

Puis, je consacrerai un autre billet aux "amoureux de Betanzos"... Ce sera pour plus tard ! ... Afin de replonger à nouveau dans ces instants magiques !